


Euterpe, Parnasso in Festa
Händel Festspiele in Bad Lauchstädt
Lautten Compagney Berlin


“Aurélie Francks Porträt des Nero als erotischer Stadtneurotiker ist eine verblüffend reife Leistung” -Tagesspiegel- Ulrich Amling :
http://www.tagesspiegel.de/kultur/ich-bin-dein-dein-bin-ich/4425556.html
“Den Kaiser selbst gab die androgyn-bezaubernde Aurélie Franck”
-Deutschlandfunk, Musikjournal- Irene Constantin
“Souverän und selbstbewusst in Stimmführung und Bewegungen”
-Peter Jobst (Salzburg)
Nerone, L’Incoronazione di Poppea
Festival Junger Opernsänger in Schloss Rheinsberg


A Trip to the Moon, Andrew Norman
Berliner Philharmonie

(…) Aurélie Franck se présente sous l’étiquette ʺmezzo-sopranoʺ, mais son timbre lumineux, l’étendue de son registre, nullement gêné par les redoutables aigus que lui réservent l’un et l’autre compositeurs, lui permettent de concurrencer un vrai soprano ; la beauté radieuse de sa voix n’est jamais prise en défaut lorsqu’il lui faut s’envoler vers des cieux transfigurés que d’autres accrocheraient en sons criés. On admire autant la technique que le sens de l’adéquation expressive qui la conduisent à se glisser si naturellement dans chaque poème (…)
Sylviane Falcinelli
Geschichten aus dem Wiener Wald, HK Gruber, Komische Oper Berlin

Die Zauberflöte, »1927« Suzanne Andrade, Paul Barritt & Barrie Kosky

I Eat the Sun & Drink the Rain, Sven Helbig
“Aurélie Franck, (…) die durch expressives Spiel überzeugt” -Online Musik Magazin- Thomas Molke
“Aurélie Franck, (…) die spielerisch fulminant agiert” -Tiroler Kronenzeitung- F. Gratl
1st Witch, Dido & Aeneas, Innsbrucker Festwochen der alten Musik


Stavanger Konserthus

“La voix d’Aurélie Franck, s’alliant naturellement au souffle de l’orgue, unit le texte et la musique avec une évidence grave et légère…”
Isabelle Françaix, Orgues Nouvelles
Fragments, Label Paraty
“Aurélie Franck impose une remarquable noblesse de ton”
-Opéra Magazine n°52 p.66- Jacques Bonnaure
Nérine, La fille mal gardée, Opéra comique de Paris
“Aurélie Franck (…) pleine d’avenir, qui parvient à donner vie au rôle assez peu gratifiant de Flore”
-Opéra Magazine n°47 p.66 – Jacques Bonnaure – https://www.facebook.com/note.php?note_id=290170307496